En 1981, la NASA reçoit un rapport intitulé
« Interactions des champs électromagnétiques avec le corps humain :
effets observés et théories ». Commandée
à Jeremy K. Raines, diplômé en physique et ingénieur en communication et
électromagnétique, cette étude tend à prouver que les ondes ont des effets sur
le corps humain, même à faible niveau.
Des résultats qui
divergent
Ce rapport contient l’ensemble des effets physiologiques que
les champs électromagnétiques peuvent causer sur les être humains à des niveaux
de puissance faibles et athermiques alors que les autorités et les groupes de
téléphonie mobile affirment actuellement qu’aucun effet physiologique ne peut
être constaté en dessous des niveaux de puissance dits thermiques.
Les symptômes de
l’électrosensibilité
Les effets recensés par l’étude correspondent à de nombreux
symptômes dont les personnes se disant atteintes d’électrosensibilité se
plaignent : maux de têtes, troubles du sommeil, irritabilité, dépression,
douleurs musculaires, difficultés respiratoire et bien d’autres.
Une exposition jugée
trop élevée
Retrouvé et interrogé par le site « Reporterre »,
Jeremy K. Raine, le scientifique en charge de l’étude, affirme que les seuils
d’exposition aux ondes électromagnétiques tolérés de nos jours par les
législations sont toujours trop élevés pour être réellement efficace.
Retrouvez ce rapport de la NASA ici.
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